On ne sait jamais trop si on doit souscrire des garanties arrêt de travail et invalidité.
Dans le principe, oui, on sait que c’est important.
Dans la pratique, on ne sait trop quoi faire: la confiance manque dans la manière dont l’indemnisation se fera effectivement le jour du sinistre.
Une des solutions possibles peut être de souscrire…sans compter dessus.
Cela peut se traduire par la souscription d’une franchise longue (90 jours voire même beaucoup plus !).
Ainsi,
– Le tarif doit logiquement être beaucoup moins élevé qu’avec une franchise courte voire très courte.
– Je peux donc retenir des indemnités journalières bien plus élevées
– La rente d’invalidité est aussi déterminée en fonction du niveau d’indemnités journalières: elle sera donc plus élevée
– Je compte sur une indemnisation incertaine qu’en cas d’arrêt de travail grave voire très grave
– Je pourrai ainsi me défendre si nécessaire, si besoin en faisant appel à un avocat, car cela en vaudra la peine
– Au final, par rapport à une solution franchise courte, j’aurai perdu quelques mois d’indemnisation (comme la perte d’un gros client par exemple), mais au niveau des indemnités journalières franchise courte (pas celui plus élevé que j’aurai choisi avec franchise longue), donc, je « perdrai » moins.
– Je peux donc retenir des indemnités journalières bien plus élevées
– La rente d’invalidité est aussi déterminée en fonction du niveau d’indemnités journalières: elle sera donc plus élevée
– Je compte sur une indemnisation incertaine qu’en cas d’arrêt de travail grave voire très grave
– Je pourrai ainsi me défendre si nécessaire, si besoin en faisant appel à un avocat, car cela en vaudra la peine
– Au final, par rapport à une solution franchise courte, j’aurai perdu quelques mois d’indemnisation (comme la perte d’un gros client par exemple), mais au niveau des indemnités journalières franchise courte (pas celui plus élevé que j’aurai choisi avec franchise longue), donc, je « perdrai » moins.
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